L'ancien leader de la CGT avait assuré qu'il reprendrait du service chez Renault pour finir ses trimestres après avoir laissé les rênes du syndicat à sa successeure. Alors, a-t-il vraiment repris le chemin de l'usine...
qu'il lui manquait "des trimestres pour avoir droit au taux plein" et assuré qu'il retournerait, pour quelques mois, "chez Renault, mon employeur de départ, au Technocentre de Guyancourt ".C'est chez Renault, qu'en 1982, Philippe Martinez a commencé sa carrière. D'abord en tant que technicien de la métallurgie aux usines de Boulogne-Billancourt, avant d’être muté au centre de recherche sur les moteurs de Rueil-Malmaison.
Depuis 2018 - date à laquelle il est élu à la tête de la fédération des travailleurs de la métallurgie de la CGT -, l'homme était détaché au sein du syndicat. Fonction qu'il a exercée pendant huit ans, après avoir été réélu en 2016 et 2019., l'entreprise Renault a confirmé que "Philippe Martinez a réintégré l’entreprise Renault le lundi 3 avril, comme prévu".
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