En Europe pour la promotion de son livre L’art de vaincre, l'ancien demi d'ouverture néo-zélandais Dan Carter s’est confié sur les All Blacks, le Mondial et les Bleus, mais pas que.
Après deux mois d’échanges avec son entourage, le rendez-vous est calé. Dan Carter est dans un taxi reliant le centre-ville de Londres à l’aéroport. "J’ai trente minutes devant moi. Alors, vous êtes excité pour le grand match vendredi prochain ?", lance-t-il juste avant de commencer l’interview. Oui. Autant que d’échanger avec la star All Black des années 2000.
Historique Le président Paul Goze avait cassé la tirelire pour s’attirer le All Black, débarqué à Aimé-Giral en rock star. Finalement, victime d’une grave blessure au tendon d’achille, Carter n’a joué que cinq matches sous les couleurs de l’Usap.Sûrement pas. On a passé tellement de temps à construire notre histoire, notre héritage, qu’on ne peut pas se permettre de l’abîmer.
J’ai eu la chance d’avoir un psy sur une partie de ma carrière, de m’accompagner. Il m’a donné les outils pour apprendre à toujours garder l’esprit clair, vivre le moment et me concentrer sur les tâches qui sont devant moi.Ça fait partie du sport. Et faut comprendre que c’est une chance, que tu ne peux pas t’échapper. La clé : l’entourage. Coéquipiers, coaches, amis, famille… Tout en assurant que tout est clair dans ta tête.