À l’occasion des Journées mondiales de la jeunesse, à Lisbonne du 1er au 6 août, La Croix a choisi de s’intéresser à la communauté portugaise en France, à travers le portrait de la famille Da Silva venue, comme tant d’autres, s’implanter sur l’île de Groix. Aujourd’hui, Abilio, arrivé clandestinement il y a cinquante ans avec femme et enfants. Groix, une île aux accents portugais (1/5).
, scande Abilio Da Silva, les yeux pétillants de malice. Un bail depuis son arrivée à l’île de Groix en 1973, un, au large de Lorient, connu au début du XXe siècle comme le premier port thonier de France.Assis à la table de la salle à manger, il raconte ces années comme si le moment était venu d’inscrire cet anniversaire dans le temps.À 22 ans, il a mis le pied sur ce « caillou » de 3 kilomètres sur 8.
« Un taxi est arrivé, conduit par un voisin, copain d’école de ma mère. C’était le passeur. Il nous a conduits jusqu’à la frontière espagnole. De là, on a traversé un champ jusqu’à la voie ferrée que l’on a suivie. »« Ici en Espagne, il ne vous arrivera rien, vous êtes en sécurité.
Albilio Da Silva , photographié peu de temps après son arrivée sur l’île, en 1973. / Marie SEBIRE / HANS LUCAS pour La Croix À 60 ans, après quelques ennuis de santé, il prend sa retraite alors que ses trois fils et deux de ses petits-fils assurent la relève.Une vie dense partagée entre ses deux pays qui l’ont façonné
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