La Française a imposé son nom et sa place dans la mode, grâce à son sens aigu du vêtement, des symboles et de l’époque.
), vend son immense choix de pièces vintage pour payer ses études, cherche des sponsors pour financer sa première collection. Elle se fiche un peu de la mode en tant que telle, des tendances, du prétendu « it-bag » de la saison. À l’écouter, le vêtement l’intéresse en tant qu’objet sociologique, témoin de l’époque ou signe d’appartenance politique.
» Crâne rasé, élégance monacale et sourire de Mona Lisa, il se précipite alors porte de Clignancourt, grimpe les six étages jusqu’à la studette de la créatrice qui lui présente sa collection dans l’intimité de sa propre chambre. « Le plus drôle, c’est qu’elle ne comprenait pas vraiment qui j’étais, s’amuse encore le gourou du milieu, qui a également fondé les concept stores à succès.